École militaire interarmes
Fondation |
1942 1961 |
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Type | |
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Nom officiel |
École militaire interarmes |
Directeur |
Lieutenant-colonel Frédéric Chamault |
Devise |
Le travail pour loi, l'honneur comme guide |
Membre de | |
Site web |
Pays | |
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Campus |
Camp de Coëtquidan |
Ville |
En France, l'École militaire interarmes (E.M.IA.) est l'école militaire chargée de la formation des officiers de l'Armée de Terre issus du recrutement interne, c'est-à-dire issus des rangs des sous-officiers et des militaires du rang. L'E.M.IA. est l'équivalent de l'École militaire de l'Air (E.M.A.) de l'Armée de l'Air et de l'Espace et de l'École militaire de la Flotte (E.M.F.) de la Marine nationale. Sa devise est « Le travail pour loi, l'honneur comme guide ».
L'E.M.IA. est implantée à Guer (Morbihan) et fait partie de l'Académie militaire de Saint-Cyr / Coëtquidan (A.M.S.-C. / C.) tout comme l'Ecole spéciale militaire (E.S.M.), chargée la formation des officiers de l'armée de Terre issus du recrutement externe, et l'Ecole militaire des aspirants de Coëtquidan (E.M.A.C.) chargée, entre autres, de la formation des officiers sous contrat.
Elle relève du commandement des écoles de Coëtquidan et de la direction des ressources humaines de l'Armée de terre (DRHAT).
Formation
[modifier | modifier le code]L'EMIA recrute ses élèves parmi les sous-officiers d'active et les militaires du rang (depuis 2010) sélectionnés par concours. Les élèves-officiers suivent une formation de deux ans. À l'issue de la première année, ils sont nommés au grade de sous-lieutenant, puis de lieutenant à la fin de la seconde année. Les lieutenants nouvellement promus complètent alors leur formation pendant une année supplémentaire dans l'école d'application de leur choix (Draguignan pour l'artillerie et l'infanterie, Saumur pour l'arme blindée-cavalerie, Angers pour le génie, etc.)[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'EMIA est l'héritière des différentes « écoles d'armes » du XIXe siècle, qui formaient des officiers issus des corps de troupe.
La plus importante de ces écoles d'armes, l’école militaire d'infanterie de Saint-Maixent (EMI), est fusionnée avec l'école spéciale militaire de Saint-Cyr (ESM) en novembre 1942 dans l'école des élèves-aspirants de Cherchell, créée après l'occupation allemande de la zone Sud. En décembre 1944 l'École militaire de Cherchell prend le nom d’« École militaire interarmes » (EMIA). Elle s'installe après la guerre en juin 1945 à Coëtquidan, les bâtiments de l'ancienne école de Saint-Cyr, à Saint-Cyr-l'École ayant été détruits dans des bombardements.
La nouvelle école, qui prend en 1947 le nom d'« École spéciale militaire interarmes » (ESMIA), forme à la fois, selon l'idée d'amalgame de son fondateur le général de Lattre de Tassigny, des officiers issus du concours externe et des officiers issus du recrutement interne.
Ce système fonctionne jusqu'en 1961, date à laquelle on sépare la formation des officiers « directs », confiée à la nouvelle école spéciale militaire de Saint-Cyr (ESM), et celle des officiers « semi-direct », confiés à l'EMIA[2]. Selon Michel Goya[3], cette dissociation s'explique par la volonté de préserver les jeunes « directs » du contact avec les vétérans de la guerre d'Algérie, l'objectif étant de faire table rase d'un passé traumatisant pour construire une armée nouvelle et résolument moderne.
Recrutement
[modifier | modifier le code]Historique
[modifier | modifier le code]Longtemps, les candidats ont été sélectionnés à l'École militaire de Strasbourg. L'EMS comportait deux filières : le bataillon du concours unique des services (CUS) et le peloton préparatoire au concours de l'EMIA (PPEMIA). Les élèves de l'EMS avaient également la possibilité de se présenter à un concours d'ingénieurs auxiliaires de l'armement[Quoi ?].
Aujourd'hui
[modifier | modifier le code]Le concours pour entrer à l'École militaire interarmes[4] nécessite quatre conditions : être âgé de 35 ans maximum, être titulaire d'un baccalauréat (admission sur concours) ou d'une licence (admission sur titre), être militaire non-officier de trois ans de service minimum au 1er janvier de l'année du concours et enfin être apte physiquement.
Les épreuves dépendent du choix de la filière pour les épreuves écrites. Les épreuves orales et physiques sont communes à toutes les filières. Après s'être inscrit au concours dans son unité, le candidat doit choisir l'une des trois filières pour l'examen : sciences (SI), langues (L), économie (ES). Ensuite, les candidats doivent d'abord passer une série d'épreuves écrites pour être admissibles, puis passer une série d'oraux et d'épreuves physiques pour être admis.
- Les épreuves écrites[5] sont constitués de deux épreuves communes. Une épreuve de synthèse d'une durée de quatre heures, l'épreuve consiste en une synthèse portant sur un sujet relatif au monde de la défense, il s'agit de vérifier l'aptitude du candidat à analyser et à rédiger. Une épreuve de langue anglaise d'une durée de deux heures, l'épreuve écrite de langue anglaise comporte deux parties. Elle vise à vérifier la compétence linguistique et l'expression écrite. Puis, en fonction de la filière, deux épreuves spécifiques, pour les SI, il s'agit d'une épreuve de mathématiques et d'analyse de processus d'une durée de quatre heures et d'une épreuve de sciences physiques d'une durée de quatre heures. Pour les L, il s'agit d'une épreuve d'histoire des relations internationales et géopolitique d'une durée de quatre heures et d'une épreuve de langue vivante autre que l'anglais d'une durée de trois heures. Pour les ES, il s'agit d'une épreuve de sciences économiques d'une durée de trois heures et d'une épreuve de mathématiques appliquées d'une durée de trois heures[6].
- Les épreuves orales[7] sont communes à toutes les filières. La première épreuve est une épreuve d'aptitude aux fonctions d'officiers, cette épreuve comporte un entretien du candidat avec le président du jury, une personnalité scientifique ou universitaire et un officier supérieur examinateur sur un sujet tiré au sort de culture générale. La seconde épreuve est une épreuve de connaissances militaires, cette épreuve consiste en une interrogation orale de chaque candidat par le colonel adjoint du président et deux officiers supérieurs examinateurs. La dernière épreuve est une épreuve de langue anglaise. Il existe aussi une épreuve de langue vivante optionnelle[6].
- Les épreuves physiques consistent à grimper une corde (l'épreuve consiste à grimper en style libre deux fois une hauteur de cinq mètres mesurée à partir du sol dans les délais les plus courts), un test de type « Cooper », effectué sur piste, une épreuve de natation de 100 mètres nage libre et 10 mètres en apnée (en piscine, avec ou sans virage, après un départ plongé ou sauté depuis le plot de départ), une épreuve d'abdominaux et enfin un parcours d'obstacle[6].
Il existe aussi un concours sur titre pour les personnels déjà titulaires d'un diplôme de niveau minimum de baccalauréat plus deux ans. Les élèves sélectionnés ne passent pas les épreuves écrites et vont directement passer les épreuves orales et physiques[8].
Diplômes
[modifier | modifier le code]Diplômes universitaires
[modifier | modifier le code]Tous les élèves officiers obtiennent à leur sortie de l’école le diplôme de l’Ecole Militaire Interarmes qui leur confère le grade de licence (180 ECTS), validé par le ministère de l’enseignement et de la recherche[9].
Stages, diplômes et brevets spécifiques
[modifier | modifier le code]Dans le même temps, les élèves officiers passent de nombreux stages militaires qui leur donnent des qualifications spécifiques :
- capacité à commander une section de trente hommes environ ;
- brevet de parachutisme militaire ;
- directeur de mise en œuvre des explosifs ;
- directeur de tir ;
- moniteur de tir de combat ;
- stages d’aguerrissement aux techniques commando, jusqu'à instructeur ;
- attestation prévention et secours civiques de niveau 1 ;
- certificats militaires de langues étrangères ;
- stage académique de recherche en milieu international ;
- stage d’aguerrissement en milieu équatorial ;
- stage d’aguerrissement en montagne.
Traditions
[modifier | modifier le code]Le drapeau de l'école militaire interarmes porte sur sa cravate la croix de chevalier de la Légion d'Honneur (depuis 2011), la croix de guerre 1939-1945 avec palme et la croix de guerre TOE avec palme. En outre la croix de guerre 1939-1945 avec palme de l'école militaire de Cherchell est également épinglée sur cette cravate (elle comporte, en plus de la palme, une agrafe marquée « Cherchell »).
Les élèves de l'EMIA sont surnommés les « dolos », d'après la marque de corned beef des anciennes rations de combat qui représente un bœuf (un « bœuf » étant en langage argotique militaire un soldat rustique, dur à la tâche et pas toujours très fin). Les élèves de l'EMIA ont commencé à revendiquer cette appellation dans le courant des années 1970. Lors des cérémonies, ils portent la Tenue de Parade, dite « TP », ainsi que le sabre modèle 1974 F1 inspiré du Sabre de cavalerie légère modèle An IX. Il fut dessiné par le général de Boissieu. Lors des activités de tradition ils portent le calot bleu ciel[10] a fin liseré et fond rouge, hérité de l'ESMIA. Malgré une légende tenace, ils ne portent pas celui des cadets de l'École de Cherchell, qui comporte, lui, un fin liseré jonquille.
Les chants de tradition de l'EMIA sont La Prière, Sarie Marès et le Dolo Cornu[11].
Une phrase populaire : « Dolo un jour, Dolo toujours ! ».
Conservation des archives
[modifier | modifier le code]Début 2016, afin de permettre la conservation des archives numériques des promotions de l'École militaire interarmes, la 54e promotion a créé un site internet permettant d'archiver les sites des promotions afin d'éviter les disparitions malencontreuses de cet historique[12],[13].
Promotion EMIA / ESMIA avant 1961
[modifier | modifier le code]1re | 1944-1945 | Promotion Rhin Français |
1re | 03/07/1945 - 16/12/1945 | Promotion VICTOIRE[14] |
2e | 05/03/1946 - 01/05/1947 | Promotion INDOCHINE[15] |
1re | 1945 - 1947 | Promotion NOUVEAU BAHUT[16] |
2e | 1946 - 1948 | Promotion Général LECLERC |
3e | 1947 - 1949 | Promotion RHIN ET DANUBE[17] |
4e | 1948 - 1950 | Promotion Général Aubert Frère[18] |
5e | 1949 - 1951 | Promotion GARIGLIANO[19] |
6e | 1950 - 1952 | Promotion EXTREME-ORIENT[20] |
7e | 1951 - 1953 | Promotion Maréchal DE LATTRE |
8e | 1952 - 1954 | Promotion Union Française |
9e | 1953 - 1955 | Promotion Ceux de Diên Biên Phu |
10e | 1954 - 1956 | Promotion Lieutenant-colonel AMILAKVARI |
11e | 1955 - 1957 | Promotion Franchet d'Espèrey |
12e | 1956 - 1958 | Promotion Général LAPERRINE |
13e | 1957 - 1959 | Promotion Terre d'Afrique |
14e | 1958 - 1960 | Promotion Maréchal BUGEAUD[21] |
15e | 1959 - 1961 | Promotion Lieutenant-colonel JEANPIERRE[22] |
Promotions EMIA depuis 1961
[modifier | modifier le code]1er | 1961-1962 | Capitaine Bourgin[23] |
2e | 1962-1963 | Serment de Koufra |
3e | 1963-1964 | Belvédère[24] |
4e | 1964-1965 | André Zirnheld[25]. |
5e | 1965-1966 | Cinquantenaire de Verdun |
6e | 1966-1967 | Connétable du Guesclin[26] |
7e | 1967-1968 | Narvik[27] |
8e | 1968-1969 | Libération de Strasbourg[28]. |
9e | 1969-1970 | Plateau des Glières[29]. |
10e | 1970-1971 | Général Kœnig[30]. |
11e | 1971-1972 | Souvenir[31] |
12e | 1972-1973 | Général Marceau[32] |
13e | 1973-1974 | Général Brosset[33] |
14e | 1974-1975 | Capitaine Cazaux[34] |
15e | 1975-1976 | Capitaine Cardonne[35] |
16e | 1976-1977 | Capitaine de Belsunce[36] |
17e | 1977-1978 | Lieutenant Chezeau[37] |
18e | 1978-1979 | Général Laurier |
19e | 1979-1980 | Lieutenant-colonel Broche[38] |
20e | 1980-1981 | Capitaine Cozette[39] |
21e | 1981-1982 | Centenaire[40] |
22e | 1982-1983 | Lieutenant Leclerc de Hauteclocque |
23e | 1983-1984 | Lieutenant Borgniet[41]. |
24e | 1984-1985 | Lieutenant Bernard de Lattre de Tassigny. |
25e | 1985-1986 | Lieutenant Lhuillier][42]. |
26e | 1986-1988 | Dalat[43] |
27e | 1987-1989 | Capitaine Legrand[44] |
28e | 1988-1990 | Valmy |
29e | 1989-1991 | Bataillon de Corée[45]. |
30e | 1990-1992 | Général Daboval |
31e | 1991-1993 | Capitaine Barrès[46] |
32e | 1992-1994 | Combats de Tu-Lê |
33e | 1993-1995 | Capitaine Maine |
34e | 1994-1996 | Cadets de Cherchell |
35e | 1995-1997 | Lieutenant Schaffar[47] |
36e | 1996-1998 | Général Gandoët[48] |
37e | 1997-1999 | Grande Guerre |
38e | 1998-2000 | Général Berge[49] |
39e | 1999-2001 | Campagne d'Italie |
40e | 2000-2002 | Capitaine Coignet |
41e | 2001-2003 | Capitaine Biancamaria[50] |
42e | 2002-2004 | Lieutenant de Ferrières |
43e | 2003-2005 | Général de Lanlay |
44e | 2004-2006 | Colonel Guéguen[51] |
45e | 2005-2007 | Colonel Delcourt |
46e | 2006-2008 | Lieutenant Antoine de la Bâtie[52] |
47e | 2007-2009 | Général de Corps d'armée Alain Le Ray |
48e | 2008-2010 | Capitaine Flores |
49e | 2009-2011 | Colonel du Puy-Montbrun[53] |
50e | 2010-2012 | Général Bigeard |
51e | 2011-2013 | Maréchal Bessières |
52e | 2012-2014 | Ceux d'Afghanistan[54] |
53e | 2013-2015 | Général Delayen[55] |
54e | 2014-2016 | Lieutenant Nungesser[56] |
55e | 2015-2017 | Colonel Vallette d'Osia[57] |
56e | 2016-2018 | Lieutenant-colonel Mairet[58] |
57e | 2017-2019 | Général Lucien Le Boudec |
58e | 2018-2020 | Uskub[59] |
59e | 2019-2021 | Armée des Alpes[60] |
60e | 2020-2022 | Général Eblé[61] |
61e | 2021-2023 | Gergovie[62] |
62e | 2022-2024 | Chef de bataillon Dupin[63] |
63e | 2023-2025 | Ceux du Sahel[64] |
Culture populaire
[modifier | modifier le code]En , paraît le premier album d'une bande dessinée consacrée à l'EMIA :
- Nelson Castillo, Matthieu Sylvain, Rémi Le Capon et Patrice Buendia, EMIA : Frères d'armes, Paris/Marcinelle/impr. en Belgique, Zéphyr Éditions, , 56 p. (ISBN 978-2-36118-194-9)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Scolarité de l’Ecole Militaire Interarmes. », sur st-cyr.terre.defense.gouv.fr (consulté le ).
- « Historique de l’Ecole Militaire Interarmes. », sur st-cyr.terre.defense.gouv.fr (consulté le ).
- Michel Goya, Sous le feu, Tallandier, , p.229.
- « Le concours pour entrer à l'École Militaire InterArmes : Condition d'accés ».
- « Le concours pour entrer à l'École Militaire InterArmes : épreuves écrites ».
- « Concours sur épreuves d'admission à l'école militaire interarmes » [PDF].
- « Le concours pour entrer à l'École Militaire InterArmes : épreuves orales ».
- « Concours sur titres d'admission à l'École militaire interarmes » [PDF].
- « Qualifications et diplômes à l'EMIA. », sur st-cyr.terre.defense.gouv.fr (consulté le ).
- Le port de ce calot a été réintroduit à l'EMIA en 1988 par la Promotion VALMY sur proposition de l'EOA LABROSSE.
- « Les Chants de l'EMIA », sur dolos.chez.com (consulté le ).
- « Le mamouth: Un nouveau chantier pour la Nungesser », sur lemamouth.blogspot.fr (consulté le ).
- « L'EMIA face au devoir de conservation du patrimoine des promotions », sur lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr (consulté le ).
- « Page de la promotion Victoire - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Indochine - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Nouveau Bahut - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Rhin et Danube - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Général FRERE - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Garigliano - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Extrême Orient - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Maréchal BUGEAUD - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Lieutenant-colonel JEANPIERRE - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Capitaine Bourgin - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Belvédère- Site promotions E.M.I.A. ».
- « Site de la promotion Zirnheld ».
- « Site de la promotion Connétable du Guesclin - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Narvik - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Libération de Strasbourg - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Plateau des Glières - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Site de la promotion Général Kœnig ».
- « Page de la promotion Souvenir - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Général Marceau ».
- « Site de la promotion Général Brosset ».
- « Site de la promotion Capitaine Cazaux ».
- « Site de la promotion Capitaine Cardonne ».
- « Site de la promotion Capitaine de Belsunce ».
- « Site de la promotion Lieutenant Chezeau ».
- « Page de la promotion Lieutenant-colonel Broche - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Site de la promotion Capitaine Cozette ».
- « Site de la promotion Centenaire ».
- « Page de la promotion Lieutenant Borgniet - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Lieutenant Lhuillier - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Page de la promotion Dalat ».
- « Site de la promotion Capitaine Legrand ».
- « Page de la promotion Bataillon de Corée - Site promotions E.M.I.A. ».
- « Site de la promotion Capitaine Barrès ».
- « Site de la promotion Lieutenant Schaffar ».
- « Page de la promotion Général Gandoët ».
- « Page de la promotion Général Berge ».
- « Site de la promotion Capitaine Biancamaria ».
- « Page de la promotion Colonel Guéguen ».
- Le nom est à portée symbolique, Antoine-Dejean-de-la-Bâtie fait partie des victimes de l'attentat du poste Drakkar en 1983 à Beyrouth durant la guerre du Liban. Voir « "Nous saluerons le Président, pas el-Assad" », sur Le JDD, et « 20 heures de France 2 [9e minute] », sur YouTube / INA, .
- « Page de la promotion Colonel du Puy-Montbrun ».
- « Page de la promotion Ceux d'Afghanistan ».
- « Page de la promotion général Delayen », sur promotions-emia.fr.
- « Site de la promotion Lieutenant Nungesser », sur emia54.promotions-emia.fr.
- « Site de la promotion Colonel Vallette d'Osia », sur emia55.fr.
- « Site de la promotion Lieutenant-colonel MAIRET », sur emia56.promotions-emia.fr.
- Chant de la Promotion 2018-2020 : Uskub, 24 juillet 2019, (écouter en ligne) (nISSM)
- « Page de la promotion Armée des Alpes », sur promotions-emia.fr.
- « Page de la promotion Général Eblé », sur promotions-emia.fr.
- « Page de la promotion Gergovie », sur promotions-emia.fr.
- « Page de la promotion Chef de bataillon DUPIN », sur promotions-emia.fr.
- « Page de la promotion Ceux du Sahel », sur promotions-emia.fr.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Ministère de la Défense, Force et Courage : histoire et traditions de l'École militaire interarmes de 1873 à nos jours, Guer, École militaire interarmes, , 125 p. (ISBN 978-2-11-089165-5 et 2-11-089165-3)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Camp de Coëtquidan
- École nationale des sous-officiers d'active
- École spéciale militaire de Saint-Cyr
- Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan
- 4e bataillon de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr
- Lycée militaire de Saint-Cyr
- L'Épaulette
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Site officiel des Promotions EMIA
- Ressource relative à la vie publique :